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pour le 31 mars


Il vous précède en Galilée


Puisque en ce dimanche la pierre est roulée et que le tombeau  est vide, il n’ y a
plus qu’à... 
il n’ y a plus qu’à aller le rejoindre, se rendre là où il nous dit qu’il se trouve : au
milieu de nos frères et sœurs, au cœur de notre quotidien, là où aujourd’hui encore
les hommes se croisent, s’interrogent, se questionnent.
A nous de ne pas rater le rendez vous.

 

 

Pour le 24 mars

Le Seigneur en a besoin 

Et nous frères et sœurs, au début, au commencement de cette semaine sainte sommes-nous prêts à nous rendre disponible jusqu’à accomplir, non pas ce que nous avons toujours souhaité faire, ce dont nous avons rêvé depuis longtemps, et même patiemment imaginé ; mais bien ce qu’il attend de nous, ce à quoi il nous appelle et que nous refusons d’entendre.

N’est-ce pas le moment pour nous d’y consentir ?

 

Pour le 17 mars

Nous voudrions voir Jésus.

Ce désir, frères et sœurs, je suis convaincu qu’il vous habite, c’est sans doute même votre souhait le plus cher.

Nous savons par expérience que percevoir dans notre monde des signes de la présence du maître n’est pas toujours chose facile. Or voilà qu’en ce dimanche pour mieux discerner sa présence, pour le voir, un signe nous est donné : celui du grain de blé mourant en terre.

Aussi c’est au travers de ceux qui se livrent, s’offrent, faisant de leur vie un don. qu’il  ne cesse de se manifester aux hommes d’aujourd’hui.

C’est de cette façon, cette unique façon que nous pouvons à notre tour être de ses disciples, des témoins de sa présence.

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Pour le  3  mars

Enlevez cela d ‘ici

Sans pour autant être habiter par la même violence, il est peu courant de voir ainsi Jésus, n’était  il pas temps nous sommes bientôt à mi parcours , à mi carême, de chasser de nos cœurs comme de nos vies tout ce qui au plus intime de nous même  vient encombrer , dévier notre relation avec le Christ .

N’était pas temps de purifier notre cœur ?

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Pour le 18 février

L’Esprit le pousse au désert

Et si plutôt que, de choisir le chemin que nous souhaitons prendre, le lieu même où nous désirons  parvenir, de décider  par nous-même  du sens de notre vie,  nous consentions à l’imitation  du maître, durant ces quarante  jours à laisser l’Esprit nous conduire, nous guider, nous accompagner, en un mot nous montrer la route .

Ne serait-ce pas une manière, fort utile, de vivre le carême ?

 

Pour le 25 février

Ils ne virent plus que Jésus seul

Ne voir que lui !  Mais le voir vraiment, sans tout ce que notre imagination, nos désirs   nos envies, jusqu’à nos rêves les plus fous, projettent sur sa personne. Le voir tel qu’il est, et le découvrir enfin vraiment  comme   notre frère, notre frère en humanité, Celui  à qui nous  sommes invités à ressembler, à écouter.

 

 

Pour le dimanche 11 février 
Si tu le veux, tu peux me purifier
ET nous frères et sœurs , savons avoir la même simplicité que cet homme ? 
Oserons nous lui demander la même chose ? Qu’il nous prenne en pitié et
fasse preuve à notre égard de miséricorde .
Mais pour cela faut il se reconnaître pécheur , et consentir à vivre le pardon ,
cela le voulons nous vraiment ?

 

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Pour le dimanche 4 février
Jésus s’approcha, la saisit, la fit lever...
Que dire de plus , en ce dimanche que de vous invitez à contempler la scène, et par
la suite de faire mémoire de tous ces moments, toutes ces rencontres où le Seigneur
lui-même est venu dans le quotidien de votre vie, vous rejoindre pour vous remettre
debout, vous redonner vie.
Faire remonter tout cela à la surface et savoir en rendre grâce , n’est ce pas vivre ?

l’eucharistie ?

 

 

Pour le dimanche 28 Janvier
Que nous veux-tu ?
Et si en ce dimanche nous consentions à accueillir cette question, plutôt que de
demander ce dont nous rêvons, ce qu’il nous semble avoir besoin, risquer de nous
redire et recevoir ce que Jésus nous veut , ce que sa présence dans notre
quotidien vient nous offrir, nous apporter.
Avons nous vraiment conscience qu’à chaque eucharistie c’est sa vie qu ‘il nous livre
en partage ?

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Pour le dimanche 21 janvier

La fragilité une chance pour nous ?

Sans doute avez-vous perçu combien le ministère public de Jésus ne débute pas sous les meilleurs auspices, Jean Baptiste vient d’être arrêté et conduit en prison.

De plus l’appel des premiers disciples se situe sur un terrain mouvant, le long de la grève, et pourtant c’est une Bonne nouvelle que le Seigneur nous annonce, une bonne nouvelle qu’il nous invite à partager.

De tout cela que pouvons-nous en conclure ? Tout simplement ceci, la petitesse et la fragilité est le terreau de notre mission, de la mission de l’Eglise et qu’en aucune manière la faiblesse ou la pauvreté de nos moyens ne peuvent nous empêcher de parler.

Mais en sommes-nous vraiment convaincus ?

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